dimanche 20 mai 2018

Chantier / caravane abandonnés, rue du Planty = détermination intacte




Il y a quelques semaines, le propriétaire du chantier et de la caravane abandonnés de la rue du Planty a adressé un courrier au plus proche riverain.

J’y suis nommément mis en cause.

Par souci de transparence, j’ai adressé ma réponse aux habitants du  quartier concerné (extraits ci-dessous).

Ma détermination est intacte. Je continuerai à dénoncer sans relâche cette situation que le Maire a laissé s’installer dans le temps avant de réagir.

Je ne me résous pas à ce que les choses restent en l’état car des solutions existent pour y mettre fin.

Salutations distinguées,

Gérald BLANCHARD
Conseiller Municipal et communautaire

Extraits du courrier adressé au propriétaire du chantier / caravane abandonné.

Il aurait été plus simple et plus judicieux de m’écrire directement si vous aviez des reproches à me faire. Vous évoquez une prétendue violation de propriété lors d’un rassemblement que j’ai organisé. Aux menaces, je préfère les actes francs et directs. Si vous considérez qu’il y a eu violation de propriété - délit que vous semblez bien mal connaître - il vous appartient de saisir la justice. Des témoignages et des photos prises ce jour-là permettront de démontrer la réalité de la situation.

Je voudrais par ailleurs vous dire que ma détermination est intacte. Je suis indigné par le spectacle que donnent vos bâtiments à l’abandon pour notre commune. Je continuerai à le dénoncer (…).

Je trouve indigne votre courrier à Monsieur xxxx, qui vit au quotidien les occupations régulières de vos bâtiments et caravanes abandonnés. Je pense que si vous étiez à sa place, la situation vous indignerait aussi. D’une certaine manière, vous inversez les rôles pour essayer de vous faire passer pour une victime (…)

Si un jour j’ai la destinée de Buxerolles en responsabilités, soyez assurés que je prendrai des mesures pour que ce terrain soit acheté par la commune et réhabilité. Il existe des dispositifs légaux que je m’emploierai à utiliser pour y parvenir, pour le bien être des riverains et l’image de notre commune.

Je vous tends la main : le plus courageux ne serait-il pas d’accepter une rencontre pour confronter nos points de vue ?