Il y a quelques semaines, le propriétaire du chantier et
de la caravane abandonnés de la rue du Planty a adressé un courrier au plus
proche riverain.
J’y suis nommément mis en cause.
Par souci de transparence, j’ai adressé ma réponse aux
habitants du quartier concerné (extraits
ci-dessous).
Ma détermination est intacte. Je continuerai à dénoncer
sans relâche cette situation que le Maire a laissé s’installer dans le temps
avant de réagir.
Je ne me résous pas à ce que les choses restent en l’état
car des solutions existent pour y mettre fin.
Salutations distinguées,
Gérald
BLANCHARD
Conseiller
Municipal et communautaire
Extraits du
courrier adressé au propriétaire du chantier / caravane abandonné.
Il aurait été plus simple et plus
judicieux de m’écrire directement si vous aviez des reproches à me faire. Vous
évoquez une prétendue violation de propriété lors d’un rassemblement que j’ai
organisé. Aux menaces, je préfère les actes francs et directs. Si vous
considérez qu’il y a eu violation de propriété - délit que vous semblez bien mal
connaître - il vous appartient de saisir la justice. Des témoignages et des
photos prises ce jour-là permettront de démontrer la réalité de la situation.
Je voudrais par ailleurs vous dire que ma
détermination est intacte. Je suis indigné par le spectacle que donnent vos
bâtiments à l’abandon pour notre commune. Je continuerai à le dénoncer (…).
Je trouve indigne votre courrier à
Monsieur xxxx, qui vit au quotidien les occupations régulières de vos bâtiments
et caravanes abandonnés. Je pense que si vous étiez à sa place, la situation
vous indignerait aussi. D’une certaine manière, vous inversez les rôles pour
essayer de vous faire passer pour une victime (…)
Si un jour j’ai la destinée de Buxerolles
en responsabilités, soyez assurés que je prendrai des mesures pour que ce
terrain soit acheté par la commune et réhabilité. Il existe des dispositifs
légaux que je m’emploierai à utiliser pour y parvenir, pour le bien être des
riverains et l’image de notre commune.
Je vous tends la main : le plus
courageux ne serait-il pas d’accepter une rencontre pour confronter nos points
de vue ?