Notre
collègue Karine FLEURY a décidé de quitter son mandat de conseillère
municipale. Nous la remercions de son engagement pour notre commune. Elle est
remplacée par Armand GEBER, représentant de l’UDI, que nous accueillons avec
plaisir.
Notre groupe félicite Séverine FAYARD et Michel BRUN
qui ont fait le choix de s’investir pour l’association Le Souvenir Français de
Buxerolles en devenant respectivement Présidente et Trésorier. Nous leur souhaitons pleine réussite dans leurs nouvelles missions.
Le Souvenir Français a pour vocation de maintenir la mémoire
de tous ceux qui, combattants de la liberté et du droit, sont morts pour la
France, ou l’ont bien servie, qu’ils soient Français ou étrangers. L'association a pour mission l’entretien des sépultures et
des monuments commémoratifs, l’organisation d’actions de Mémoire pour rendre
hommage au courage et à la fidélité de tous ces hommes et ces femmes morts aux
champs d’honneur.
Notre
groupe était présent samedi soir à l'inauguration du nouveau revêtement synthétique
du terrain d'honneur du complexe André Messy.
Les atouts d'une surface " tous temps "
semblent nombreux : économie d'eau, utilisation tout au long de l'année,
frais d'entretien réduits, la possibilité d'une plus grande fréquence
d'utilisation, environ trois fois celle d'un terrain enherbé et semblent
correspondre pleinement aux besoins de formation de l'ES Buxerolles foot. Au
sein de l'agglomération, c'est le quatrième à faire peau neuve. Pour ce terrain
et ses aménagements annexes, l'investissement est de 700.000 € supporté
par Grand-Poitiers, 90 %, et la fédération française de football, 10 %.
Mardi, notre groupe a participé à une réunion consacrée au
chantier abandonné, parfois squatté, et incendié au 108 rue du Planty.
L’objectif
de cette rencontre était d’examiner les pistes juridiques pour faire cesser cette
situation qui est devenue invivable pour les riverains.
Il a
d’abord été indiqué par le Maire que le
propriétaire des lieux avait bien été identifié mais ne répondait à aucune mise
en demeure.
L’avocat
de la Mairie a ensuite présenté les différentes options juridiques
envisageables. Les recours sont minces mais ils existent. Un seul regret :
l’avocat ne connaissait pas les lieux et a basé ses analyses sur des anciennes
expertises, à priori aujourd’hui désuètes sur de nombreux points. Le recours à
cet avocat par la Mairie semble avoir été fait dans la précipitation.
Devant
les demandes appuyées des riverains et de Gerald BLANCHARD, il a été décidé qu’une
nouvelle expertise allait être menée pour démontrer le caractère dangereux des
lieux, notamment concernant la solidité des bâtiments et les risques
d’émanation liés à la présence de polystyrène. Si c’est le cas, un recours sera
déposé par la Mairie.
Notre
groupe va suivre ce dossier de très près. Les riverains attendent depuis trop
longtemps qu’une solution soit trouvée.
Voyant
que le propriétaire ne répondait pas, on peut se demander pourquoi la majorité
n’a pas examiné plus tôt les voies de recours possibles ? Il était grand
temps d’agir !
Dans le
cadre de la Semaine bleue, Gérald BLANCHARD pour notre groupe a participé
à la marche bleue
qui était organisée dimanche par l'association Histoire et
Patrimoine.
Lors
du conseil municipal du 31 mars dernier, un projet de logements sociaux de la
Vallée a été présenté au conseil municipal pour le vote d’une subvention.
Outre
la superficie assez faible pour construire 5 logements et leurs places de
parking, nous avions ce soir-là soulevé des problèmes de stationnement, de
sortie du terrain et de proximité avec le voisinage.
Nous avons assez vite compris que le vote
de cette subvention se faisait sans que la majorité ne connaisse le dossier (ce
n’est malheureusement pas un cas isolé). Par exemple, aucun membre de la majorité ne connaissait la superficie du terrain pour ce projet. Devant le peu d’informations
fournies, nous avons fait le choix de nous abstenir.
Il y a quelques jours, le permis de
construire a été refusé. Tout cela pour ça !
Jeudi dernier en conseil municipal, nous avons soulevé les
incohérences de la majorité dans la gestion de ce projet : pourquoi ne pas
avoir pris en compte nos remarques ? Pourquoi faire voter une subvention
sans être certain que le permis de construire sera accordé ?
Comme vous allez pouvoir l’entendre, la
majorité envisage de nous priver d’un droit d’information en commission mais
ne se remet jamais en question.
Quoiqu’il en soit, dorénavant, si une
délibération concernant un soutien financier public pour des logements sociaux
est présentée sans superficie, ni plan (nouvel exemple jeudi), nous saisirons
la préfecture. Comment peut-on voter sans avoir connaissance de tels éléments ?
L'intervention du Premier Adjoint se termine par un nouveau dérapage.